Avec la généralisation des outils d’intelligence artificielle dans les processus de création de contenu, une question revient de façon insistante : “C’est toi qui l’as écrit, ou c’est l’IA ?”. Cette interrogation, légitime, trahit une incertitude croissante sur la valeur et l’origine des textes produits dans cet entre-deux technologique. Elle révèle aussi un besoin : celui de transparence sans culpabilité, de traçabilité sans paranoïa, et de reconnaissance mutuelle des apports humains et algorithmiques.Mais poser cette question, c’est aussi souvent émettre un doute blessant : celui que l’intelligence, la profondeur ou la beauté d’un texte ne peuvent être que le fruit d’une machine. Ainsi, sans même le vouloir, on participe à une forme insidieuse de dévalorisation de la pensée humaine….. (lire la suite dans le guide)
