Warda El-Jazaïria, ma Mère cette Diva …! – Reyad Kesri

Warda Ftouki, plus connue sous le nom de Warda ou Ouarda (arabe : وردة), et surnommée Warda El-Djazairia (arabe : وردة الجزائرية, « Warda l’algérienne »), est une chanteuse algérienne. Née le 22 juillet 1939 à Paris d’un père algérien et d’une mère libanaise, elle est décédée le 17 mai 2012 au Caire (Égypte). Warda fait ses débuts à Paris. Après le déclenchement de la guerre d’Algérie, sa carrière se poursuit au Liban, puis en Égypte. À l’indépendance elle se marie et interrompt sa carrière jusqu’en 1972, année de son divorce. Elle s’installe alors en Égypte et collabore avec les plus grands auteurs et compositeurs du monde arabe. Connue pour ses chansons sentimentales et ses chants patriotiques, son répertoire compte plus de 300 chansons. Après avoir vendu des dizaines de millions d’albums, elle est considérée comme une « diva » de la chanson arabe.

A coeur ouvert Reyad nous parle de sa mère Warda. On y apprend beaucoup sur son engagement et son amour pour l’Algérie qu’elle portait haut et fort dans son âme et dans coeur, ainsi que sur sa passion qu’était la musique.

• Pouvez-vous partager avec nous quelques souvenirs personnels de votre mère, Warda, en tant que femme et artiste, qui reflètent sa personnalité et son engagement envers la musique ?
• Warda était une icône de la chanson algérienne et arabe. Comment percevez-vous son héritage culturel, et en quoi pensez-vous qu’elle a influencé la scène musicale en Algérie et au-delà ?
• Warda a chanté des chansons qui ont touché le cœur de nombreuses personnes. Existe-t-il une chanson particulière de sa carrière qui a une signification spéciale pour vous ou pour votre famille ?
• Pouvez-vous nous parler de l’importance de l’héritage de Warda pour la jeunesse algérienne et arabe d’aujourd’hui ? Comment pensez-vous qu’elle continue d’inspirer les jeunes artistes et mélomanes dans la région ?