Jean-Marie Rouart : “La Maitresse Italienne”

   Le temps de lecture 1 min

Le décor est planté. Napoléon, le grand proscrit ainsi nommé tellement il fascine, est assigné à résidence à l’île d’Elbe. L’europe est en ébulition. Les alliances se font et se défont alors que Talleyrand- le prince, le diable boiteux- malgré son âge avancé se à ses passions favorites à savoir : le vice et l’intrigue en imaginant et planifiant ce que seront les contours de l’Europe. L’occasion lui sera donnée, d’exprimer sans aucune morale, sa redoutable intelligence; au cours du congrès de Vienne. Toutes les têtes couronnées d’Europe et de Russie étaient bien là avec leur lot de courtisanes et les regards tournés vers cette petite île italienne. Il faut dire que le proscrit leur inspire beaucoup de crainte. La guerre gronde Talleyrand exulte tandisque le grand proscrit affine sa revanche dans la plus grande discrétion.

Mais qui est la maîtresse italienne, qui contribua à faire échapper Napoléon de l’île d’Elbe ? Elle est belle, jeune et légère. La comtesse Miniaci est au cœur d’une énigme historique de première grandeur. Quel fut son rôle dans l’évasion épique de Napoléon de l’île d’Elbe ? Sans elle, l’Empereur n’aurait pu tromper la surveillance de tous ceux qui guettaient le moindre de ses mouvements…

Laisser un commentaire

Votre adresse e-mail ne sera pas publiée. Les champs obligatoires sont indiqués avec *

Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.