Fleurs d’Algérie : Entre Passion et Terroir, le Parcours Inspirant de Saida B.

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Quelle vitalité, quelle force de volonté et quel enthousiasme ont poussé Saida B. à se lancer dans l’aventure du design floral, alors même qu’elle semblait destinée à une carrière de biologiste.

Cette trajectoire unique est le fruit d’une série d’événements marquants, débutant par l’amour profond de son grand-père pour sa terre et ses plantes, dont les fragrances ont bercé l’enfance de Saida. Elle décrit cette expérience comme sa propre madeleine de Proust.

Ce qui captive surtout, c’est sa détermination à apprendre et à maîtriser un domaine totalement nouveau pour elle, convaincue qu’il lui apporterait une profonde satisfaction.

Saida aborde avec perspicacité les défis inhérents à sa profession, le plus significatif étant l’absence d’un véritable marché aux fleurs en Algérie. Animée d’un amour inconditionnel pour son pays, elle nourrit le rêve ambitieux de le positionner sur la scène internationale du marché floral, à l’image des exportations du Kenya. Ce rêve, elle en est persuadée, peut devenir réalité.

Elle évoque également avec fierté la création de son école, douze ans après ses débuts en tant que fleuriste, avec l’ambition de transmettre sa passion et son savoir-faire à de futurs artistes fleuristes.

Saida termine par un message empreint de sagesse : « On ne peut pas vivre sans fleurs. Nos âmes ont besoin de beauté et de nature ». Une vérité universelle qui résonne avec force. Qui pourrait la contredire ?

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  1. “Saida, peux-tu partager ton histoire et ce qui t’a inspirée à devenir fleuriste ainsi qu’à fonder l’École d’Art floral ? Quels ont été les moments clés et les défis que tu as rencontrés sur ton chemin ?”
  2. “Dans ton École d’Art floral, quelle approche pédagogique adoptes-tu pour transmettre ta passion et ton savoir-faire à tes élèves ? Comment encourages-tu la créativité et l’innovation dans le domaine floral ?”
  3. “Tu as mentionné les variétés exceptionnelles de fleurs qui poussent en Algérie, comme les roses de Blida, mais l’offre semble ne pas répondre à la forte demande, tant sur le marché local qu’international. À ton avis, quels sont les principaux obstacles à l’expansion du marché des fleurs en Algérie, et comment pourrait-on les surmonter ?”
  4. “Des pays comme la Hollande et le Kenya se sont positionnés comme d’importants exportateurs de fleurs sur le marché international. Selon toi, quelles leçons l’Algérie pourrait-elle tirer de ces modèles de réussite pour dynamiser son propre secteur floral et augmenter sa part sur le marché international ?”

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